Lien de CET article : https://wp.me/p38ugl-ya
“Les danseurs sachant êtres patients seront récompensés au centuple par la profondeur structurelle du grand progressive… “
Techniquement, ce texte n’est PAS une revue de la nuit du 7 dec 2024 avec (((Simply City et Dimuth K))), mais c’est au cours de cette nuit que ces mots furent capturés en mon esprit, je les communique donc ainsi simplement, tout en informant qu’un autre texte sera publié pour la revue elle même…
Cette nuit FULL PROGRESSIVE du 7 dec 2024 au (((Temple))) fut longue à démarrer, mais une fois connecté, j’ai accédé à la merveille de Dieu, du dieu de la musique, de la déesse de la danse, et de tout ce qui ce pouvait exister comme danse que seul le GRAND PROG peut permettre en raison de ses structures complexes et mathérythmiques.
Par la musique et le moment, j’ai vécu ZE parfaite connexion exceptionnelle au rythme et à la lumière et au plancher de façon à m’y plonger ENTIÈREMENT! et ce fut une expérience absolument représentative de toutes mes expériences de danse de ma vie. Cela m’a pris des heures et des heures à vraiment plonger, et RESSENTIR, mais quand ce fut le cas… Tout mon être et ma conscience se sont chargé de lumière comme rarement, pour EXPLOSER le plancher de danse.
Je le dis, je le redis quand j’ai connecté et j’ai plongé avec vous les danseurs, j’ai eu l’impression que toutes mes années de danse s’exprimaient en moi dans la plus pure perfection de chacun de mes mouvements. Plongé au fond du fond du fond du cul du fond du beat du bleu, je me suis senti extraordinaire, puissant, connecté, émerveillé, complètement présent, et j’affirme en réelle humilité mais avec conviction, que j’ai dansé des mouvements que la danse elle-même ne savait pas pouvoir être dansée, et réinventé la gravité en reprogrammant le concept même de la façon de bouger. Mes mouvements étaient souples, fluides, et suivaient avec aisance la magnifique chorégraphie divine induite par les complexes structures prog.
Vous me connaissez, en dansant, j’écris, sans même y réfléchir. Mon cerveau se remplit par lui-même de mots divins qui me descendent direct en conscience, c’est ainsi. Alors je les extraits pour l’humanité, afin qu’ils deviennent vôtres, puisque qu’ils sont universels, et ne sont pas de moi, mais bien de la Grande Conscience dont je ne suis que le stylet… Ils sont les mots qui me surgissent en tête durant ma prière en mouvement, et qui expriment sans doute l’essence éternelle des expériences de danse et du partage des sens connectés par la Grande Conscience….
Ce sont les mots qui s’adressent à vous, au travers moi, sans égard à ma personne, qui n’a aucune importance en soi. Acceptez de m’oublier pour ne récolter que ce partage qui est en fait le vôtre, à la lumière de vos consciences, du plus profond du bleu et du noir, entre les lasers et l’indigo…
Alors… Lettre à toi, qui est là…
Si je le pouvais, si j’étais Stereo, ce seraient les mots que je te confieraient…
À toi que j’aime tant, juste à côté de moi…
Je suis toi, je suis moi, je suis elle, je suis lui, je suis nous, je suis vous, je suis tout, tout comme vous, connecté au grand tout.
Je suis d’ici ou de là-bas, danseur éternel de Londres, Paris, New York ou Montréal, le centre du monde…
Je suis toi je suis moi je suis nous je suis vous je suis eux je suis tout, tout comme vous.
Je suis ce danseur sans nom, sans étiquette, le partenaire d’un moment, sur tous les planchers de danse de la planète, sans égard à la langue ou les mots, puisque seul le mouvement révèle l’authenticité, la vérité.
En Argentine, au Mexique, au Portugal, dans les clubs ou les festivals, dans les grandes soirées, les très petites ou les after-hours du monde entier.
Tu existes comme toi, là-bas ou ici,
Tout comme nous.
L’important, c’est d’être là, au travers toi, lui, elle, eux…
Car tous les danseurs de la planète se retrouvent sur les planchers,
Sans se préoccuper des mondanités.
Le seul passeport est la danse spontanée,
Celle qu’on ne recherche pas, mais qui nous a rassemblé.
Je suis ce sourire furtif, surgissant
Entre deux rayons de lumière,
Dans l’entrelacement d’un rythme par le mouvement.
Je suis cette personne à côté de toi,
Qui dégage une énergie,
Qui te connecte à toi-même,
En oubliant un peu le « moi »,
Pour devenir le « nous », et te connecter au Grand Tout, malgré tout…
Je suis ce regard complice, qui surgit entre deux épaules et un pas de danse,
Avec qui le partage instantané de l’espace intime et de cette extrême proximité n’est plus une contrainte,
Mais un bonheur à aborder en toute fluidité sans jamais nous accrocher avec tant de complicité…
On bouge, on danse, on ondule,
On connecte, on manifeste le mouvement.
On exprime une énergie qui vitalise et nous module en roulant sur l’onde sonore elle même…
Je suis toi, je suis nous, je suis vous, je suis tout, tout comme vous.
Je suis cette femme magnifique qui danse de tout son corps,
Avec seul le Dj pour amant, libre de tous ses mouvements.
Je suis ce mec, confiant et souriant,
Qui ne cherche rien d’autre que le plaisir sans attente et bienveillant…
Je suis ce couple de danseurs, resurgit du bon vieux temps ou il n’y avait pas les enfants, qui sont maintenant rendus grands…
Je suis ces deux amants, parents évadés pour se retrouver par la mémoire des corps enlacés, à l’origine de leur rencontre, sur ce plancher de tellement de libertés…
Je suis toi je suis nous je suis vous nous sommes tout,
Comme ce moment où, avec un pur inconnu,
Je m’abandonne complètement à la danse,
Sans réfléchir à ce qu’il pense…
Je suis ce sourire inconnu, ces yeux brillants qui surgissent le temps d’un instant
mais en tellement de moments au cours d’un même événement,
qu’à force de danser on en vient à créer une nouvelle intimité,
avec un être qui n’était jusque là qu’un étranger,
mais avec qui en fait l’on est maintenant lié…
Je suis cette connexion spontanée et gratifiante,
Avec de nouveaux visages que l’on fait rire,
Avec qui l’on danse sans connaître leurs noms,
Avec qui l’instant devient éternité, puisque se créent de nouvelles amitiés.
Je suis ce moment au fumoir,
Demandant du feu,
Trouvant une main qui crée une amitié.
Je suis ce regard émerveillé,
Observant quelqu’un danser librement,
Et me rappelant combien il est beau,
De bouger sans peur et sans se sentir inquiété….
Je suis cette audace, ce laisser-aller, cet abandon,
Ce souffle qui me libère complètement du jugement des autres,
Pour me plonger en moi-même au fond de ma conscience par la transe-en-danse,
sans plus rien réfléchir d’autre que le mouvement et ma respiration…
Respirer, bouger, respirer, danser, respirer, les yeux fermés…
Je suis cette gratitude intime,
Cette reconnaissance immense, de vivre cela,
De le partager avec d’autres humains,
De ressentir la chance d’être là.
Oui oui,
Je suis cet éclat de conscience,
Spontané et furtif,
Qui me traverse les sens dans mon absence,
Tout au long de la danse, la transe.
Je suis cette JOIE de retrouver des gens aimés, des amis qui nous reconnaissent pour qui nous sommes sur un plancher et comment ensemble l’on sait bouger…
Je suis toi je suis moi je suis eux je suis elles je suis nous je suis vous nous sommes tout,
Rassemblés dans le bleu le rouge le noir et l’indigo dans la profondeur du rythme,
Plongés en nous-mêmes, dans les lumières de la nuit, là ou tout luit.
Je suis ce moment où le temps disparaît,
Où seul le battement du rythme
Et la respiration subsistent.
Je suis cette lumière qui me transporte dans un autre monde,
me plongeant dans une autre réalité en endormant mes sens ou en me tirant de mon absence…
Je suis la facilité manifeste,
Les synchronies subtiles,
Guidant nos pas sans effort.
Je suis ces rencontres magiques, cette merveilleuse spontanéité,
Ces instants d’improbabilité impossibles à inventer,
Ces connexions inattendues qui enrichissent la nuit et entrent dans ta vie.
Je suis ce moment endiablé, exalté,
Où mon corps DEVIENT la danse,
Où la danse elle-même se réinvente,
Par ces rythmes qui guident tout mon corps à bouger ainsi pour la première fois,
Comme s’il en avait pourtant toujours été ainsi et que c’était déjà en moi… …
Je suis cet ami au loin,
Ce sourire échangé à travers la foule,
par une brèche instantanée en pleine ligne droite au travers de tous les danseurs,
comme un pont entre deux âmes dans le mouvement,
capté au travers l’improbabilité de cet instant déjà disparu….
Je suis toi qui a oublié un téléphone dans les toilettes ou sur un divan,
et qui vient le retrouver au vestiaire sans aucun tourment,
Je suis toi qui a trouvé ce téléphone et qui même sans hésiter
a simplement eu le réflexe de le rapporter à la sécurité,
Comme tu aurais voulu qu’il soit fait pour toi
Car nous ne sommes pas ici pour ça, et que tu aimes ton prochain.
Je suis toi, je suis moi, je suis lui, je suis celle qui est trop belle,
Qui de son innocence se fait toujours harceler de compliments sans essence,
Je suis toi son ami qui sait être présent sans être imposant
Pour garder au loin les mal avenants tout en souriant…
Je suis toi, moi, elle, lui, je suis nous je suis tout.
Je suis cet instant de grâce,
Où tout devient UN, ou l’on respire en phase,
Je suis Toi, toi, toi, et toi aussi,
Toi là-bas, toi ici,
Tous reliés par la danse.
Je suis l’Esprit de la Vie Underground, je suis le S.O.U.L.
Nous sommes Stereo.
Tous ensembles.
Le Danseur, l’un parmi les autres….
SOUNDCLOUD DIMUTH K https://soundcloud.com/dimuth-k/dimuth-k-live-ozmozis-w-guy-j-coda-toronto-010624
SOUNDCLOUD SIMPLY CITY https://soundcloud.com/simply_city_music
QUELQUES PIÈCES ENTENDUES ET RECONNUES (Cliquez simplement sur le titre)
CELESTIAL trail / betrayer moon
Aspects of Rhythms – Audio Junkies
Surpris de cette lecture ?
Cela vous a touché car ce sont VOS mots et vos pensées ?
Alors il y a plein d’autres textes de la nuit par ici : https://lesparolesdechris.ca/category/la-nuit-la-vie-categorie/
« Dancers who know how to be patient will be rewarded a hundredfold… »
Technically, this text is NOT a review of the night of December 7, 2024, featuring Simply City and Dimuth K, but it was during this night that these words crystallized in my mind. I am sharing them here simply, while letting you know that a separate text will follow for the actual review.
This FULL PROG night of December 7, 2024, was slow to ignite. But once the connection happened, I reached the divine—the god of music, the goddess of dance, and everything that dance could ever encompass.
Through the music and the moment, I experienced the perfect connection—an exceptional, immersive unity with the rhythm, the light, and the floor. I plunged into it COMPLETELY, and it became an experience that encapsulates all my lifetime’s dancing. It took hours, countless hours, to fully dive in and FEEL, but when it happened… my entire being and consciousness were suffused with light, brighter than ever.
I say it, and I’ll say it again: when I connected and plunged alongside you, fellow dancers, I felt as though all my years of dancing poured through me in pure perfection, expressed in every single move. Immersed in the deepest depths of the beat and the blue, I felt extraordinary, powerful, connected, and awestruck—fully present. In humble conviction, I declare that I danced movements that even dance itself didn’t know could exist, reinventing gravity and rewriting the very concept of motion. It was divine.
You know me. When I dance, I write—without even thinking. Words of divinity flow into my mind effortlessly, descending directly into my awareness. This is how it is. So I extract these words to share them with you here, letting them become yours, as they are universal. They are not mine but belong to the Great Consciousness, of which I am merely a pencil.
These are the words that arose in my mind during my prayer in motion, words that perhaps convey the universal essence of dance experiences and the sensory connection we share through the Great Consciousness.
These words are meant for you, through me, without regard to my person, which is of no significance. Embrace the act of forgetting me to truly receive this shared offering—it is yours, illuminated by your consciousness, deep in the blue and black, amidst the lasers and indigo.
Letter to You, Who Are Here…
If I could, if I were Stereo, these are the words I would entrust to you…
To you, whom I love so much, right next to me…
I am you, I am me, I am her, I am him, I am us, I am you, I am everything, just like you, connected to the greater whole.
I am from here or there, the eternal dancer of London, Paris, New York, or Montreal—the center of the world…
I am you, I am me, I am us, I am you, I am them, I am everything, just like you.
I am the nameless dancer, without a label, a fleeting partner on every dance floor on the planet, beyond language or words, as only movement reveals authenticity, truth.
In Argentina, in Mexico, in Portugal, in clubs or festivals, at grand soirées, at tiny gatherings, or at after-hours around the world.
You exist as you, there or here, just like us.
What matters is being there, through you, him, her, them…
For every dancer on the planet finds themselves on the floor,
Unbothered by worldly concerns.
The only passport is spontaneous dance,
The kind we don’t seek but that brings us together.
I am that fleeting smile, appearing
Between two beams of light,
In the weaving of rhythm through movement.
I am the person beside you,
Radiating energy,
Connecting you to yourself,
Forgetting the “I” for a moment,
To become “we” and connect to the greater whole, despite everything…
I am that knowing glance, emerging between two shoulders and a step,
Where sharing intimate space and extreme closeness is no longer a constraint,
But a joy embraced with fluidity and mutual ease…
We move, we dance, we sway,
We connect, we manifest movement.
We express an energy that vitalizes, shaping us as it rides the sonic wave itself…
I am you, I am us, I am you all, I am everything, just like you.
I am that magnificent woman dancing with her whole being,
With only the DJ as her lover, free in every movement.
I am that man, confident and smiling,
Seeking nothing but joy without expectation, kind and carefree…
I am that dancing couple, revisiting a time before children,
Now grown, as they rediscover their youth…
I am those two lovers, parents slipping away to reconnect,
Through the memory of entwined bodies,
Returning to the moment of their first meeting,
On this floor of boundless freedom…
I am you, I am us, I am you all, we are everything,
Like that moment when, with a perfect stranger,
I surrender completely to the dance,
Without a thought of what they might think…
I am that unknown smile, those gleaming eyes that surface for an instant
But return so often during the same event,
That through dancing, we create a new intimacy
With someone who was once a stranger,
But with whom I am now bound…
I am that spontaneous and fulfilling connection,
With new faces that we make laugh,
With whom we dance without knowing their names,
But with whom the moment becomes eternal.
I am that moment at the smoking area,
Asking for a lighter,
Finding a hand that sparks a friendship.
I am that wonder-filled gaze,
Watching someone dance freely,
Reminding me how beautiful it is
To move without fear, without worry.
I am that boldness, that letting go, that surrender,
That breath that completely frees me from others’ judgment,
Plunging me deep into my own consciousness through the trance of dance,
Thinking of nothing but the movement and my breathing…
Breathe, move, breathe, dance, breathe, eyes closed…
I am that intimate gratitude,
For living this,
For sharing it with other humans,
For feeling the luck of being here.
Yes, yes,
I am that spark of awareness,
Spontaneous and fleeting,
Flowing through my senses in my absence,
Throughout the dance, the trance.
I am the JOY of reuniting with loved ones, with friends who recognize us for who we are on the dance floor, and how we move together so effortlessly.
I am you, I am me, I am them, I am us, I am you, I am all of us,
Gathered in blue, red, black, and indigo,
In the depth of the rhythm,
Plunging into ourselves, within the lights of the night, where everything glows.
I am that moment when time disappears,
When only the beat of the rhythm
And the breath remain.
I am that light that transports me to another world,
Immersing me in another reality, lulling my senses, or pulling me out of absence…
I am effortless ease,
The subtle synchronies
That guide our steps without effort.
I am those magical encounters, that wonderful spontaneity,
Those improbable moments impossible to invent,
Those unexpected connections that enrich the night and enter your life.
I am that wild, exalted moment,
When my body BECOMES the dance,
When the dance itself reinvents,
Through rhythms that guide my whole being for the very first time,
As though it had always been that way…
I am that distant friend,
That smile exchanged across the crowd,
Through an instant break in the straight line of dancers,
Like a bridge between two souls in motion,
Captured in the improbability of an already vanished moment…
I am you, forgetting a phone in the restroom or on a couch,
And finding it again at the coat check without worry.
I am you, finding that phone, instinctively returning it to security,
As you would hope someone would do for you.
For that’s not what we’re here for, and you love your neighbor.
I am you, I am me, I am him, I am her, too beautiful,
Whose innocence draws endless hollow compliments.
I am you, the friend who stays present but not intrusive,
Keeping ill intentions at bay with a smile.
I am you, I am me, I am her, I am him, I am us, I am everything.
I am that moment of grace,
When everything becomes one, when we breathe in unison.
I am You, you, you, and you too,
You over there, you here,
All of us connected through dance.
I am the Spirit Of Underground Living, I am the S.O.U.L
We are Stereo
The Dancer, one among many…

TO LISTEN TO IT ON SOUNDCLOUD, JUST CLICK ON THE PICS
SOME SONGS EARD AND CAPTURES (Just click on the title)
CELESTIAL trail / betrayer moon
Aspects of Rhythms – Audio Junkies
Surprise by this text ? It talks to you ?
Find more beautiful texts about the night here : https://lesparolesdechris.ca/category/la-nuit-la-vie-categorie/
Thank you









