LA VIE LA NUIT – 26 AU 28 SEPT 25 – LA PERFECTION A UN NOM – REVUE DU WEEK-END DE L’ÉTÉ

Lien court pour CE texte : https://wp.me/p38ugl-C5

TEXTE LONG (mais délicieux) (** English translation to come)

Ceci est l’histoire de L’ESPRIT DE LA VIE UNDERGROUND qui se manifeste en toute perfection pour devenir le S.O.U.L : Spirit Of Underground Living.

Comment un ensemble de tout ce qui peut être parfait se manifeste pour incarner la perfection au delà de ce que l’on puisse espérer…

TITRE : Si la perfection avait un nom, elle s’appellerait SAISONS!

Chaque Stereo est unique, et chacun porte en lui-même, la composition génétique de sa Singularité, qui s’écrit au fil de la nuit, par chacunes de nos interactions.

Je me suis dit alors que la cristallisation d’une bonne fin de semaine commençait donc sans doute par la fin, en remontant le temps vers son début.

En effet, la façon dont nous clôturons un grand rituel de célébration et de connexion aux autres, n’est vraiment satisfaisant et complet que si il est clôt par la meilleure des soirées, celle des beaux dimanche bien entendu, où se retrouvent les Montréalais, tant de visage connus de notre communauté


DIMANCHE NUIT : STEREOBAR LES BEAUX DIMANCHES – TOM CARDELLI

Pour commencer par la fin, il faut dire que la soirée LES BEAUX DIMANCHES du STEREOBAR avec Ze Boss Tom Cardelli fut, ma foi, le plus PARFAIT STEREOBAR que l’on puisse imaginer!

À part l’humidité qui m’accable de sueur, tout est parfait; le plancher est espacé, les danseurs en feu, la musique, my god, LA MUSIQUE HALLUCINANTE de Cardelli et les lumières de Victoria étaient hors de ce monde!

Jamais je crois n’avais-je expérimenté un Stereobar (SB) débordant autant dans la ligne de l’afterhours, ou toutes les conditions de danse nous plongeaient incroyablement dans l’absence absolue.

La puissance du système poussée au Maximus par son créateur lui-même (Tommy), les jeux de lumières possédés et maitrisés comme un film par sa conductrice, les danseurs en phase, et même, l’arrivée du plus illustre des clients a fait EXPLOSER la place.

En effet, peut-être l’avez vous VU vous-même, le maître des maîtres lui-même John Digweed est venu juste pour prendre un verre !! Incroyable.

Alors! Comme toujours par le plus immense des hasards qui ne s’invente pas, je me suis retrouvé dans le bon mètre carré !

So….

À un certain moment, je crève de chaleur, et je suis mouillée de haut en bas, car les sorties d’air climatisé, ne poussent, ce qui fait que je n’ai pas mes zone de rafraîchissement habituelles, et malgré mon petit ventilateur portable, je SUE de tout mon corps.

Alors je décide d’aller demander au gérant si par le plus grand des hasards l’air climatisée aurait pu être oubliée, sait-on jamais. Je me dirige vers la sortie et bingo, le gérant est là, appuyé au comptoir du vestiaire.

Donc je sors pour lui adresser quelques mots en dégoûtant sur le plancher. Oui oui, il me confirme que tout est allumé, mais malheureusement non, on ne peut rien faire de plus pour ce soir.

OK alors merci, je me redirige donc vers l’entrée, mais ce n’est plus le même agent de sécurité qui y était il y a un instant.

Celle qui est là ne me reconnaît pas, et bien entendu, ne voit pas l’étampe sur mon bras puisque je l’ai lavé de sueur, alors elle hésite un peu mais me reconnaît quand même et me dit « OK oui c’est correct ».

À cet instant derrière moi, l’agent qui était là il y a quelques minutes reviens en faisant un beau sourire et un clin d’œil, je me retourne et qui je vois immédiatement derrière moi?

C’est John Digweed.

Par une très comique, situation, la jeune agent de sécurité qui est là n’a aucune idée de qui il est. Alors l’illustre invité a une genre d’hésitation, la fille ne sait pas trop, et c’est l’agent senior qui lui explique aussi en riant « c’est correct c’est le Dj du Piknic… » Lol

J’observe les gens avec qui il est venu, et j’en connais la plupart, Waouh comme c’est cool qu’ils l’ait invité ici que je me dis!

À ma surprise, les accompagnateurs ne peuvent entrer directement à sa suite, ce qui crée une distance et un moment entre eux et le plus grand Dj du monde.

Moi qui étais là, juste à un mètre devant lui, lorsque c’est arrivé, soudainement, je me retrouve juste là comme ça, à côté de lui, qui me regarde gentiment, et à attendre les gens qui l’accompagnait.

Wow!

Et le moment qui s’étire, 5 secondes, puis 15 secondes, ben là!! chu seul à côté de lui, tsé!! Fait que je lui parle !

« Hi Sir, welcome at Stereobar! I Was at Piknic this afternoon, thank you very much for your set, it was really satisfying! Are you happy with it? »

« Yes of course, such an amazing town Montreal. Happy that you like it »

« While your friend will come, would you like me to walk you to the booth? »

« Yeah yeah it’s ok thank you, I’ll wait for them »

Quelques secondes de plus passent, et ses accompagnateurs sont arrivés, j’ai alors un peu ouvert le plancher devant eux avec Georges le photographe du Piknic qui l’a amené. En arrivant au Booth, tout le monde est devenu tres excité.

J’ai pris le temps d’observer comment celui-ci serait salué par Ze Boss, et quand ce fut fait, my god…

Je ne sais pas si c’est moi, mais je suis certain, certain que sa simple venue a inspiré et boosté Cardelli à VRAIMENT donner la sauce.

Immédiatement, son style de jeux s’est approfondi, les choix musicaux sont devenus animaux, et il nous a entrainé vers les profondeurs abyssales de la BAAAAAASE!

Comme je suais ma vie, alors je décide d’aller me rafraîchir un peu aux toilettes avant de me remettre à danser. Il y a pas mal de gens, je fais la file et c’est long, mais comme toujours distrayant. Soudainement il y 2 cabines qui ouvre en même temps, j’entre dans la première à gauche, ferme la porte, et voici ce que je trouve.

Si ce n’est pas cela la perfection…

L’ÉVENTAIL MAGIQUE

Incroyable.

Asti! Un éventail qui m’attendait direct là! Pour me donner de l’air ! Ma-La-De!

Retour à la danse en ayant un nouvel accessoire qui a changé ma soirée, et m’a donné tellement plus de capacités d’endurer l’extrême chaleur, puisque je pouvais en certain moment au moins m’éventer énormément. Et danser avec et même réguler ma température. C’était magique.

My god! C’était fou ben raide!

Pour de long moments, j’ai oublié que c’est Cardelli qui jouait, on aurait dit que Digweed lui-même avait pris les commandes, c’était É-pi-que!

Pour ma part, je décrète donc CE Stereobar comme étant l’un de mes meilleurs ever, pour l’ensemble de l’œuvre!

Allez!

On continue cette revue du week-end à rebours en remontant le temps.

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DIMANCHE JOUR : PIKNIC – DIGWEED + HICKY & KALO

Précédant cela, nous avons bien entendu célébré tous ensemble LA VIE par la parfaite communion des corps dans le plus beau des lieux, le Piknic!

Nos extraordinaires talents HICKY & KALO ont délivrés la marchandise comme de vrais et grands pros ! Dans la plus belle des lumières, ils ont su mettre en place l’atmosphère idéale pour l’accueil du grand maître, et par leur énergie et leur prestance, établir toute une confiance de la foule en ce qui s’en venait, bravo les mecs! On es vraiment fier de vous!

HICKY&KALO & DIGWEED

Car vous savez…

Ce n’était pas QU’UN Piknic, ce fut LE Piknic de l’été selon moi. Bien entendu, on ne parle pas du pauvre son tres médiocre qui ne rend jamais honneur au talent des Dj, aussi grands soient-ils, mais quand même, dans les conditions, MY GOD!

LES BALONS – JUSTE WOW

Je peut presque jurer que pour un certain petit temps, Digweed lui-même semblait galérer avec le son, car il a eu au moins un ou deux mixs presque laborieux, et avec des pieces qui ne semblaient pas vraiment en ligne avec le reste, comme s’il voulait faire des test.

Mais cela a valu la peine, car quand il a su trouver ses repères, CIBOÈRE qu’il a balancé la sauce!! C’était incroyable de voir LA CROWD bouncer et groover et tanguer de la sorte, avec les grands sourires, les rires et les éclats de joies qui fusaient de partout, et avec les magnifiques ballons qui agrémentaient la vue sur la foule d’un tel esprit de la fête !

C’était le plus beau Piknic imaginable ! Nest-ce pas?

CES MECS SONT D’INCROYABLES DANSEURS, AHMED ET ERWAN

Les sourires, les danseurs tres respectueux, la foule ultra civilisée (bon je me suis fait verser littéralement un verre de liquide dans mon dos pendant que j’étais assis, ca m’a mis en TA, mais c’est l’exception qui confirme la règle) et la bienveillance qui régnait généralement sur l’événement était encore une preuve de l’émergence de l’égrégore de la danse, qui nous bénit.

THE JOURNEY OF THE SOUL

La magie de la musique fait que l’on perd la notion du temps littéralement, et que ces trois heures ont duré une éternité de 5 secondes ! Autant on était plongé dedans, à l’infini, et pour longtemps nous semblait-il, autant Digweed a su nous finir cela comme seuls les grands maîtres savent le faire.

Je n’avais d’ailleurs jamais vu une telle fermeture. On volait full over, et en 40 secondes, nous sommes passés de 30 000 pieds d’altitude à 0 sans même un soubresaut!

J’ai littéralement regardé ma montre à 21h29, un ami à côté de moi a dit « il reste UNE minute » et nous étions dans le gros peak de base, et soudainement une fréquence à la fois, on a perdu l’altitude en quelque secondes, et soudainement nous étions sur le tarmac, tous présents, parfaitement en phase, conscients, énergisée, je n’avais jamais vu cela comme ça.

Masterclass.

Je décrète donc CE Piknic comme étant mon meilleur des Piknic de la saison, sans équivoque, surtout pour avoir trouvé comme si il m’attendait exactement à l’endroit où je me suis rendu, sans même le savoir pour prendre mes notes sur un flash que je venais d’avoir, alors je trouve ce truc juste sous ma main, sans imaginer ce que je puisse t’être finalement pour voir les couleurs finalement pour réaliser que c’est un objet pour les troubles du déficit de l’attention : un SWIVEL (un grement å rouler).

SWIVEL GRIP

Si ce n’est pas là perfection…

Allez, n’abandonnez pas, on arrive au plus important segment de ce texte, en poursuivant en remontant le temps vers le vendresamedi, qui a Débuté le bal avant touut….

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Guy J – Worlds Apart – LA toune du Piknic jouée par Digweed : https://on.soundcloud.com/F59FeSrLHZOcmL22aY


VENDRESAMEDI : STEREO – SAISON EQUINOXE

ÉQUINOXE SAISONS

Comme vous le savez, nous avons changé de saison le 22 sept 2025 par la traversée de l’axe de la planète vers sa course sans fin autour du soleil et cette journée est l’équinoxe, le jour de l’année où la présence et l’absence du soleil dans le ciel sont d’égale durée. 

C’est la balance des énergies, et nos humeurs sont influencées par les grands mouvements des astres. 

Et c’est en cela, le génie de SAISON, qui célèbre ce moment avec une soirée absolument magique par les décorations spectaculaires qui font de la grosse boule miroir la planète saturne et de tout le reste, un catalyseur pour l’intuition et le mouvement. Tout passe comme de l’eau.

LA PLANÈTE SATURNE ET SON ANNEAU STELLAIRE

Je crois que tout dans cette soirée, était parfait avec une musique absolument incroyable, et chaque DJ tellement dans le ton et l’absolue intégration avec les autres. Même plus loin encore, cette soirée fut la prémices d’un week-end qui s’est développé avec toute la perfection que seul l’univers peut mettre en scène…  

BÉBÉ BOULE MIROIR

Les Danseurs étaient extraordinairement synchronisés les uns aux autres avec une fluidité qui ne s’invente pas et une énergie qui se communique tout au long de la nuit comme une pluie continue…

C’est d’ailleurs l’image mentale qui m’a submergé en un certain moment, où j’avais l’impression en regardant tous les danseurs tellement tous dans la Groove que telle une goutte déposée sur un miroir, comme chaque surface y arrive en douceur, à son tour, à la suite de ce qui précède, chaque danseur était une goutte comme une pluie fine qui bénit les terres.

À chaque danseur son espace, jamais de collision, une parfaite balance entre tous, aux mains de chaque dj, qui composaient les cycles de la bruine à l’orage d’été en intensité! Nous avions tout l’espace voulu, et chaque mètre carré était occupé par la nuit et le jour à pars égales, tel l’équinoxe de nos émotions! 

Quelle beauté !

Un ami me faisait remarquer que les danseurs étaient tellement dans la Groove, que chaque mouvement des uns étaient comme la réponse au mouvement des autres. 

On ne se voit pas danser dit-il, mais la façon dont nous bougeons devient le reflet des autres. Alors en quelque sorte on se voit dans le mouvement des autres et l’on se connecte ainsi à soit par le mouvement AVEC d’autres danseurs.

c’était vraiment exceptionnel et si flagrant qu’il y avait d’énormes déplacements des danseurs sur le plancher, qui allaient danser avec plein de groupes et se partageaient ainsi la groove à l’infini. Il n’y avait pas de petits groupes, mais UNE cohérence. 

De très tôt dans la soirée, jusqu’à la fin, nous avons rarement pu observer une telle qualité de danseur, qui semblait ne faire qu’un tous ensemble tellement tout le monde groovait et bouncait à l’unisson sur les mêmes déstructurations animales de tout leur corps! 

Vous savez, lorsque vous êtes plongé dans un gros beat, en vous oubliant complètement, et en ayant rien à foutre de ce dont vous avez l’air…

Un ami a employé le concept de  « danseurs sling-shot » pour décrire l’effet incroyable de rebond et de parfaite coordination entre chacun des corps.

Ces moments où vous poussez la gravité sur le fil de l’équilibre mais vous savez intuitivement qu’il y aura toujours un beat là où vous poserez le pied. La musique vous soutient absolument, et vous permet d’encaisser la séquence de danse qui sont es tellement satisfaisantes.

N’est-il pas absolument grisant et franchement amusant que de traverser une foule sans toucher à personne? De mouvoir votre corps au fil des ondulations, du chaos, et de vous amuser absolument à tous les niveaux pour vous couler dans les failles? N’est-ce pas là le plus agréable des passages? 

Vous savez, cet effet, de plonger dans la foule en vous déplaçant doucement à son rythme… 

Ce moment où vous vous perdez DEDANS la crowd, pour vous abandonner simplement au mouvement des corps sur une base profonde puissante, qui porte votre corps, qui kidnappe votre esprit…

Ce moment où il n’y a que votre respiration, l’espace autour de vous, le prochain temps, le prochain pas… les sourires et les expressions intense des visages furtifs qui apparaissent en syncope parmi les éclairs lumineux…

Ce moment où vous êtes un peu aveuglé par les lumières entre le noir, le rouge, les éclats de bleu qui vous inondent et des plongées dans l’indigo qui vous font sentir tellement en paix…

Avez-vous déjà remarqué combien même dans vos moment Intense, vous n’êtes jamais essoufflé?

Avez-vous déjà réalisé combien tout semblait facile, fluide, et intuitif, quand vous dansiez au plus profond de vous? Combien vous étiez parfois inspiré pour danser comme vous ne saviez pas pouvoir le faire, surtout avec d’autres complices? 

Vous DEVENEZ la Groove elle-même. Comme si la musique portait en elle des instructions divine… non?

Avez-vous remarqué combien cet environnement, cette communauté, cette activité sociale vous faisait sentir si en paix avec vous? 

Et combien cela vous permettait peut-être même de vous accepter un peu mieux tel que vous êtes, sans ne plus chercher à être autre chose que vous même pour quelqu’un d’autre..

Just be, resonate. 

La chance de vous retrouver dans un tel environnement est un privilège, une bénédiction divine.

Nos quatre chaman ont su créé pour nous un ensemble absolument parfait et complémentaire,  qui a alimenté les danseurs durant plus de 14h en une parfaite symbiose, de très tôt jusqu’à la fin.

Chaque DJ a créer son énergie au parfait moment, délicieusement, entrecoupée de service de thé chai absolument divin, de brochettes de fruits, de shooter de gingembre pur pressé…

Les saveurs, les textures et l’amour partagé était sans conteste d’excellents ingrédients pour faire perdurer et partager toute cette conscience. Chaque service fut fait au parfait moment en coordination avec la musique, de manière très civilisée.

Dans quelle foule, si ce n’en est une parfaitement synchronique, une personne peut-elle se promener en tenant un plateau plein de shooters de thé chauds, sans même recevoir UN SEUL coup d’épaule ou une étourderie d’un danseur? Dans quelle rêve cela se produit-il, sinon que dans un rassemblement de gens d’une grande conscience de l’autre ? 

Je le dis et vous le confirme, vous aviez bien vu, toute votre expérience n’était pas un rêve, mais bien un idéal, grâce aux gens qui ont planifié cela, et qui vous ont accueillis  toute la nuit. 

Merci et bravo à Dexter, Kora, Molyness et Mikael pour votre spectaculaire montage visuel, et votre engagement talentueux à donner le meilleur pour mettre en scène l’atmosphère qui permettra l’ouverture des tous les chakras! (J’ai inséré tous leur liens musicaux un peu plus loin)

De surcroît, l’émergence de l’égregore, tout au long de la nuit, dans lequel se sont plongés les quelques centaines de privilégiés, à généré une intelligence collective infinie dans laquelle nous avons pu puiser sagesse, paix et inspiration. Je ne sais pas si vous prenez le temps de lire les messages écrits dans le dos de certain danseurs, mais cela vaut parfois l’effort, car oui, å moins que le danseur soit immobile, ce qui es rare, cela prend une bonne capacité synchro et lecture pour déchiffrer ce qui es parfois long, mais super intelligent. J’adore ça. Et å équinoxe, j’ai lu celui-ci, que j’ai trouvé inspirant, représentant parfaitement le moment présent : 

« Constant art flow lead to diviness  »

Magnifique et inspirant.

C’est lå que nous étions, dans l’état divin que l’art nous guidait… Une telle construction structurelle et énergique sur toute la nuit, avec une telle substance, nous entraînant en des variations rafraîchissante pour nous faire remonter ou redescendre, tout cela en maintenant une énergie fantastique sur 14 heures, tout cela a fait du TOUT, un Chef d’œuvre, dont plusieurs ont pu noter leur rêves dans la boîte å futur qui appelait les projets derrière le booth! Ma-Gique!

Lorsque l’Égrégore se manifeste, vous devenez tous la version ++ de vous mêmes, et reconnaissez votre être à l’intérieur d’un TOUT, en ouvrant les canaux d’empathie, de générosité, de bienveillance, et cela va de tous les échanges, jusqu’à se donner la discipline de faire quelques pas pour jeter vos bouteilles vides dedans la poubelle, pas sur le plancher, ce qui maintient l’espace de danse exempt d’encombrements qui limitent votre danse, et celle des autres. 

C’est jusque là que va l’extrême onction lorsque tout va… n’est-ce pas?

C’est en cela que j’ai noté l’extraordinaire propreté du club lors de l’ouverture des lumières.

Calendrier berbère

C’était littéralement immaculée comme pour une ouverture, je n’avais jamais vu cela à ce point!

Aucune, je dis bien aucune bouteille au sol, aucune, AUCUNE bouteille sur les speakers, à peine quelques unes sous le booth, les poubelles presque vides, les toilettes presque faites… Je félicite tous pour votre discipline, tous ceux qui ont eu à cœur au fil de la nuit de ramasser ici et là les traîneries, mais aussi l’équipe de Busboys (Arnaud, Anissa et Raph) qui ont maintenu un espace plus que propre tout au long de la nuit.

C’est tellement agréable quand c’est clean, et à l’inverse triste quand ca vire en putain de bordel et que l’on ne sait plus ou mettre le pied sans se renverser la cheville !  Ca change TOUT.

Félicitation et Merci à chacun pour cela.

Alors…

Je décrète CE Stereo comme étant pour toute sa composition, le meilleur du meilleur que l’on puisse imaginer, ce fut un 12/10, au delà des espérances.

Alors imaginez que cela n’était QUE le vendredi, nous ignorions alors que la perfection se poursuivrais, bien au delà… 

Comme le disait l’ami Tony « C’est LE week-end de l’été en fin de semaine. En mai-juin-juillet on a les touristes, et des gens sont repartis chez eux, en juillet-aout ce sont les vacances, lå tout le monde est rentré, Montréal Underground is Back baby! »

DONC,

Nous pouvons donc décréter que CE week-end, fut LE week-end de l’été, et que l’ÉQUINOXE a bel et bien été célébré dans toute sa splendeur, bien plus parfaitement que quiconque n’aurait pu le concevoir.

C’est CA le S.O.U.L ! Bien plus grand que nous.

Gratitude envers l’Univers pour être en vie et partager cela avec vous. La Vie, c’est magique..

Votre ami, Le Danseur de l’Âme

FIN DU GRAND TEXTE


Anecdote

Et tiens… parlant perfection (non mais avouez que j’ai rarement utilisé autant ce mot que pour ce compte-rendu de week-end!), cela m’amène à une anecdote savoureuse qui parle pour elle même :

Alors j’arrive à Stereo, il est 01:01, c’est tel que tel.

Je prends mon billet de vestiaire, numéro 444. En partant, je SENS que ce numéro est significatif, mais sans savoir pourquoi. Je décide de le prendre comme de la chance, ce sera une bonne soirée. J’ignorais encore à quel point tout serait… parfait.

Un millier d’heures plus tard, quand je quitte tout le bazard pour retour chez moi, il es 4h44 (16h44) 

Encore beaucoup plus tard, dans la nuit de dimanche au retour du  Stereobar, je stationne ma voiture près de chez moi, j’enregistre quelques  réflexions, et quand j’ai fini et sors de ma voiture, je regarde l’heure, il est 4h44. Ça ne s’invente pas.

Alors je décide de chercher sur le web quelle est la signification du chiffre 4… quand même!

Voici ce que suggère le site https://www.jepense.org/symbolisme-chiffre-4/ (on prend et on laisse ce que l’on veut)

Dans la plupart des philosophies et religions, le 4 évoque le carré, la Terre, la totalité du monde manifesté, créé, révélé. C’est le domaine du concret, du limité. Le 4 ne crée pas lui-même mais contient tout ce qui a été créé. Le 4 évoque aussi l’organisation, l’équilibre et la perfection. 

Il invite l’individu à mieux se connaître et à trouver sa place dans le monde. Selon Lao-Tseu dans le Tao Te King, « le Tao engendre Un, Un engendre Deux, Deux engendre Trois, et Trois engendre toute chose. » (1=1 / 1+1=2 / 1+2=3 / 1+3=4 ou 2+3=5 et c’est parti mon kiki…)

4h44

Le 4 est donc le chiffre du monde manifesté, déployé dans toute sa perfection. Il est la décomposition aboutie du Principe à travers la matière, l’espace et le temps.

Et notre ami GPT nous dit ceci :

Le nombre 444 est considéré comme un puissant signe dans la numérologie spirituelle. Voici ce qu’il symbolise généralement :

Stabilité et fondations solides
Le 4 est associé aux bases solides, à l’organisation, au travail et à la sécurité. Voir 444 signifie que tu es en train de construire quelque chose de durable dans ta vie, que tes efforts portent fruit et que tu es soutenu dans ce processus.

Présence et soutien des guides
C’est souvent interprété comme un message clair : « Tu n’es pas seul, tes anges et tes guides spirituels sont à tes côtés ». Le triple 4 amplifie ce message de protection et de guidance divine.

Équilibre et alignement
444 est aussi un rappel d’harmoniser le corps, l’esprit et l’âme. Il t’invite à rester concentré, discipliné, mais aussi confiant que l’univers conspire pour ton bien.

Encouragement à persévérer
Si tu doutes ou si tu traverses une période de transition, le 444 est un signe que tu es sur la bonne voie. Tes actions sont alignées avec ton but de vie, même si les résultats ne sont pas encore visibles.

En résumé : voir 444 est un appel à la confiance, à la persévérance et un rappel que tu es soutenu spirituellement dans ton cheminement.

Non mais sans blague, pour vrai, ça s’invente pas des hasards comme ça…

Alors que je capotais sur la PERFECTION du week-end… L’univers me le confirme non pas une, mais trois fois! Tsé, le billet a trois nombre 4, je fais trois party, chaque fois un nombre 444 pas loin, qui me revient trois fois en lui-même… Et chaque party a été mon meilleur de la saison genre… pour finir le week-end de l’équinoxe avec tous mes meilleurs événements de la saison, dans les mêmes trois jours.


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Pour poursuivre votre délice musical avec vos artistes du week-end :

Molyness https://soundcloud.com/molyness

Dexter Crow https://soundcloud.com/saisonsmusique

Sarkis Mikael https://soundcloud.com/sarkis_mikael

Kora https://soundcloud.com/kora-musique

Hicky & Kalo https://soundcloud.com/hickykalo

John Digweed https://soundcloud.com/john-digweed

Tom Cardelli https://soundcloud.com/tommycardeli


SIGNÉ : Le Danseur


TRADUCTION ANGLAIS PAR GPT

Here’s a faithful, elegant English translation, keeping your tone and rhythm.


LONG TEXT (but delicious) (** Traduction française originale ci-dessus)
This is the story of THE SPIRIT OF UNDERGROUND LIFE revealing itself in perfect form to become S.O.U.L.: Spirit Of Underground Living.
How a constellation of everything that can be perfect shows up to embody perfection beyond anything one could hope for…

TITLE: If perfection had a name, it would be SEASONS!

Every Stereo is unique, and each one carries within it the genetic composition of its Singularity, written over the course of the night through each of our interactions.
I told myself that the crystallization of a good weekend likely begins at the end, then runs backward toward its beginning.
Indeed, the way we close a great ritual of celebration and connection to others is only truly satisfying and complete if it ends with the best of nights—of course, the Beautiful Sundays—where Montrealers gather, so many familiar faces from our community.

SUNDAY NIGHT: STEREOBAR LES BEAUX DIMANCHES – TOM CARDELLI

To start from the end, the LES BEAUX DIMANCHES night at STEREOBAR with Ze Boss Tom Cardelli was, honestly, the most PERFECT STEREOBAR one could imagine!
Aside from the humidity soaking me in sweat, everything was perfect: the floor spacious, the dancers on fire, the music—my god, CARDELLI’S MIND-BLOWING MUSIC—and Victoria’s lights were out of this world!
I don’t think I had ever experienced a Stereobar (SB) that spilled so boldly into afterhours territory, where every dance condition plunged us into absolute absence.

The system’s power, pushed to Maximus by its creator himself (Tommy), the light play possessed and conducted like a film by its driver, the dancers in sync, and then—even—the arrival of the most illustrious of guests blew the roof off.
Yes indeed, perhaps you SAW it yourself: the master of masters, John Digweed, popped in just to grab a drink!! Incredible.

And then—as always through the biggest of coincidences you simply can’t make up—I found myself standing in the right square meter!

So…
At a certain point I’m dying of heat, drenched head to toe, because the AC vents aren’t pushing; my usual cool-down zones aren’t there. Even with my little portable fan I’m SWEATING from every pore.
So I decide to ask the manager if by some wild chance the AC had been forgotten—who knows. I head to the exit and bingo, the manager is there leaning against the coat-check counter.
I step out to say a few words, dripping onto the floor. He confirms everything is on, but unfortunately, no, there’s nothing more that can be done tonight.

OK, thanks—I head back to the entrance, but the security guard there is not the same one as a moment ago.
The woman now on post doesn’t recognize me and, of course, can’t see the stamp on my arm because sweat washed it off. She hesitates a bit, then does recognize me and says, “OK, you’re good.”

At that instant, behind me, the guard who was there earlier returns with a big smile and a wink. I turn—and who do I see right behind me?
John Digweed.

In a very funny twist, the young guard there has no idea who he is. So the illustrious guest hesitates, the girl’s unsure, and the senior guard explains with a laugh, “It’s fine, he’s the DJ from Piknic…” lol.
I glance at the people with him—most of whom I know. Wow, how cool that they brought him here, I think!
To my surprise, his companions can’t enter directly after him, which creates a gap and a moment between them and the greatest DJ in the world.
Me, standing just one meter in front of him when he arrives—suddenly I’m right there, beside him; he looks over kindly, waiting for his people to catch up.

Wow!
And the moment stretches—5 seconds, then 15—well, there I am, alone beside him, you know? So I talk to him!

“Hi Sir, welcome to Stereobar! I was at Piknic this afternoon—thank you so much for your set, it was really satisfying! Are you happy with it?”
“Yes, of course—such an amazing town, Montreal. Happy that you like it.”
“While your friends are coming, would you like me to walk you to the booth?”
“Yeah, yeah, it’s ok, thank you—I’ll wait for them.”

A few more seconds pass, his companions arrive, and I open up a path for them with Georges, Piknic’s photographer, who brought him. At the booth, everyone gets very excited.
I took a moment to watch how Ze Boss would greet him and once that happened—my god…

I don’t know if it was just me, but I’m certain—certain—that his mere presence inspired and boosted Cardelli to REALLY bring the sauce.
Immediately, his playing deepened; his selections turned animal; he dragged us down into the abyssal depths of the BAAAAAAASS!

Since I was sweating my life away, I decided to freshen up in the bathroom before jumping back in. There’s a line; it’s long, but as always, entertaining. Suddenly two stalls open at once; I step into the first on the left, close the door, and here’s what I find.
If that isn’t perfection…

THE MAGIC FAN
Incredible.
Damn! A fan waiting for me right there! To give me air! In-sane.
Back to the dance with a new accessory that changed my night and gave me so much more capacity to endure the extreme heat—because in certain moments I could at least fan myself like crazy. Dance with it, even regulate my temperature. It was magic.
My god! It was absolutely wild!

For long stretches I forgot it was Cardelli playing—you’d swear Digweed himself had taken the controls. It was e-pic!
For my part, I hereby declare THIS Stereobar one of my best ever—for the totality of the work.

Onward!
Let’s keep rewinding the weekend, back through time.

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SUNDAY DAY: PIKNIC – DIGWEED + HICKY & KALO

Before that, of course, we all celebrated LIFE together through the perfect communion of bodies in the most beautiful of places: Piknic!
Our extraordinary talents HICKY & KALO delivered like true pros! In the most beautiful light, they set the ideal atmosphere to welcome the grand master, and with their energy and presence, built a deep crowd confidence in what was coming. Bravo, gents! We’re really proud of you!
HICKY&KALO & DIGWEED

Because, you know…
This wasn’t JUST a Piknic; it was THE Piknic of the summer in my book. Granted, we’re not talking about the poor, very mediocre sound that never does justice to DJs—no matter how great—but still, given the conditions—MY GOD!

THE BALLOONS – JUST WOW

I could almost swear that for a small while Digweed himself seemed to wrestle with the sound—one or two mixes felt almost laborious, and a few tracks didn’t quite align with the rest, as if he were testing things out.
But it was worth it, because once he found his bearings, GOOD LORD did he unleash the sauce!! It was incredible to watch THE CROWD bounce and groove and sway like that—big smiles, laughter, bursts of joy everywhere—and those gorgeous balloons sprinkling the view over the crowd with such a festive spirit!
It was the most beautiful Piknic imaginable! Wasn’t it?

THESE GUYS ARE INCREDIBLE DANCERS—AHMED AND ERWAN
The smiles, the very respectful dancers, the ultra-civil crowd (well, someone literally poured a drink down my back while I was sitting—that ticked me off—but it’s the exception that proves the rule), and the overall benevolence reigning over the event were yet another proof of the emergence of the dance egregore blessing us.

THE JOURNEY OF THE SOUL
Music’s magic makes you literally lose track of time, and those three hours lasted an eternity of five seconds! We were plunged infinitely deep—and for what felt like a long time—yet Digweed landed us the way only great masters do.
I had never seen such a closing. We were flying full over, and in 40 seconds we went from 30,000 feet down to zero without a single jolt!
I literally looked at my watch at 9:29 p.m.; a friend next to me said, “one minute left,” and we were in the big bass peak; then, one frequency at a time, we lost altitude in a few seconds, and suddenly we were on the tarmac—everyone present, perfectly in phase, conscious, energized. I’d never seen that like this.
Masterclass.

I therefore declare THIS Piknic my best of the season, unequivocally—especially for finding, as if it were waiting for me, exactly the spot I wandered to—without even knowing why—to jot down notes from a flash I’d just had… and there, right under my hand, I find this thing. I didn’t even clock what it was until I saw the colors and realized it’s an object for attention-deficit: a SWIVEL (a little rolling gizmo).
SWIVEL GRIP
If that isn’t perfection…

Alright, hang in there—we’re getting to the most important segment of this text as we keep rewinding toward Fri-Saturday, the opening act of it all…

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Guy J – Worlds Apart – THE Piknic tune Digweed played: https://on.soundcloud.com/F59FeSrLHZOcmL22aY

FRI-SATURDAY: STEREO – SAISONS EQUINOX

ÉQUINOXE SAISONS
As you know, on September 22, 2025 we changed seasons with the planet crossing its axis on its endless run around the sun; that day is the equinox—the day when presence and absence of the sun in the sky are of equal length.
It’s the balance of energies, and our moods are influenced by the great movements of the stars.
And that’s the genius of SAISONS: celebrating the moment with an absolutely magical night—spectacular decor turning the big mirror ball into planet Saturn, and everything else into a catalyst for intuition and movement. Everything flows like water.

PLANET SATURN AND ITS STELLAR RING
I think everything about this night was perfect: the music absolutely incredible, and each DJ so in tune and perfectly integrated with the others. Even beyond that, it was the prelude to a weekend that unfolded with the kind of perfection only the universe can stage…

BABY MIRRORBALL
The dancers were extraordinarily synchronized with each other with a fluidity you can’t fake, and an energy that carried through the night like a steady rain…
That was the mental image that overtook me at a certain moment: watching all the dancers so deep in the Groove, like a droplet sliding across a mirror—each surface arriving gently, one after another, each dancer a drop in a fine rain blessing the earth.
Every dancer had their space, never colliding, a perfect balance among all—at the hands of each DJ composing cycles from mist to summer storm in intensity! We had all the space we wanted, and every square meter was occupied by night and day in equal parts—like the equinox of our emotions!
What beauty!

A friend pointed out how the dancers were so in the Groove that each person’s movement felt like a reply to someone else’s.
We don’t see ourselves dancing, he said, but the way we move becomes the reflection of others. So in a way, we see ourselves in others’ movement and connect to ourselves THROUGH the movement WITH other dancers.
It was truly exceptional—and so striking—that there were huge flows of dancers across the floor going to dance with different groups, sharing the groove to infinity. There weren’t little cliques, but ONE coherence.
From very early to the end, rarely have we seen such quality of dancers moving as one—everyone grooving and bouncing in unison to the animal deconstructions of their bodies.
You know those moments—plunged into a heavy beat, completely forgetting yourself, not giving a damn what you look like…

A friend used the concept of “slingshot dancers” to describe the incredible rebound and perfect coordination between bodies.
Those moments where you push gravity along the tightrope of balance but you know, instinctively, there will always be a beat wherever your foot lands. The music supports you absolutely and lets you absorb sequences of dance that are so satisfying.

Isn’t it intoxicating—and honestly fun—to glide through a crowd without touching anyone? To move your body through the undulations, the chaos, having fun at every level as you slip into the gaps? Isn’t that the sweetest passage?
You know—this effect of diving into the crowd, moving gently at its pace…

That moment when you lose yourself INSIDE the crowd, surrendering simply to the movement of bodies on a deep, powerful bass that carries your body, kidnaps your mind…

That moment when there’s only your breathing, the space around you, the next beat, the next step… the smiles and intense expressions of fleeting faces appearing in syncopation among the flashes of light…
That moment when you’re a little blinded by the lights between black, red, bursts of blue washing over you, plunges into indigo that make you feel so at peace…

Have you noticed how—even in your intense moments—you’re never out of breath?
Have you realized how everything seems easy, fluid, and intuitive when you’re dancing from the deepest part of yourself? How you’re sometimes inspired to dance in ways you didn’t know you could—especially with co-conspirators?
You BECOME the Groove itself. As if the music carried divine instructions… no?
Have you noticed how this environment, this community, this social activity makes you feel at peace with yourself?
And how it perhaps lets you accept yourself a little more as you are—no longer trying to be something else for someone else…
Just be, resonate.

The chance to find yourself in such an environment is a privilege—a divine blessing.
Our four shamans created for us an absolutely perfect, complementary whole that fed the dancers for over 14 hours in perfect symbiosis, from very early to the end.
Each DJ built their energy at the perfect moment—deliciously—punctuated by service of absolutely divine chai tea, fruit skewers, shots of freshly pressed ginger…
The flavors, textures, and shared love were undeniably excellent ingredients to sustain and spread that consciousness. Each service came at the perfect time, coordinated with the music, in a very civilized way.

In what crowd—if not one perfectly synchronic—can someone walk around carrying a tray full of hot tea shots without receiving a SINGLE shoulder bump or clumsy nudge from a dancer? In what dream does that happen, if not in a gathering of people deeply conscious of one another?
I’m telling you—you saw right. Your whole experience wasn’t a dream but an ideal, thanks to the people who planned it and welcomed you all night long.
Thank you and bravo to Dexter, Kora, Molyness, and Mikael for your spectacular visual build and your talented commitment to giving your best to set the atmosphere that would open all the chakras! (I’ve inserted all their music links a bit further down.)

What’s more, the emergence of the egregore throughout the night, into which a few hundred lucky ones plunged, generated an infinite collective intelligence from which we drew wisdom, peace, and inspiration. I don’t know if you take time to read the messages on some dancers’ backs, but it’s sometimes worth the effort; unless the dancer is still—which is rare—it takes good sync and reading skill to decipher what can be long, but super smart. I love that. And at Equinox, I read this one, which I found inspiring—perfectly representing the present moment:
“Constant art flow lead to diviness”
Magnificent and inspiring.

That’s where we were—in the divine state guided by art… Such a structural and energetic architecture over the whole night, with such substance, carrying us through refreshing variations to bring us up or down, all while maintaining fantastic energy for 14 hours—this made the WHOLE a Masterpiece. Many even jotted dreams into the “future box” calling for projects behind the booth! Ma-gic!

When the Egregore manifests, you all become the ++ version of yourselves, recognizing your being within a WHOLE, opening channels of empathy, generosity, benevolence—and yes, even down to taking the discipline to walk a few steps to toss your empty bottles into the trash, not the floor, keeping the dance space free of clutter that limits your dance and everyone else’s.
That’s how far the extreme unction goes when everything flows… isn’t it?
That’s why I noted the extraordinary cleanliness of the club when the lights came on.

Berber calendar
It was literally immaculate—like at opening. I’d never seen it to that extent!
No—truly—NO bottles on the floor. None. NO bottles on the speakers. Barely a few under the booth. Trash cans nearly empty. Bathrooms almost done… I congratulate everyone for your discipline—those who cared enough throughout the night to pick up odds and ends here and there—and also the Busboys team (Arnaud, Anissa, and Raph) who kept the space more than clean all night long.
It’s so pleasant when it’s clean—and, conversely, it’s sad when it flips into a bloody mess and you don’t know where to set your foot without twisting an ankle! It changes EVERYTHING.
Congratulations and thank you to each of you.

So…
I declare THIS Stereo—by virtue of its full composition—the best of the best one could imagine. It was a 12/10, beyond expectations.
And imagine—that was ONLY Friday. We had no idea the perfection would continue far beyond…
As our friend Tony said, “This is THE weekend of the summer. In May-June-July we have tourists; people have gone home. In July-August it’s vacation. Now everyone’s back—Montreal Underground is back, baby!”

THEREFORE,
We can declare that THIS weekend was THE weekend of the summer, and that the EQUINOX was indeed celebrated in all its splendor—more perfectly than anyone could have conceived.
That’s S.O.U.L.! Far bigger than us.
Gratitude to the Universe for being alive and sharing this with you. Life is magic.
Your friend, the Dancer of the Soul

END OF THE LONG TEXT

Anecdote
And speaking of perfection (admit it—I’ve rarely used that word as much as in this weekend report!), here’s a tasty anecdote that speaks for itself:
I arrive at Stereo; it’s 01:01—no big deal.

I take my coat-check ticket—number 444. Right away I FEEL the number is significant, without knowing why. I decide to take it as luck—it’ll be a good night. I had no idea just how… perfect it would all be.
A thousand hours later, when I leave the whole shebang to head home, it’s 4:44 (16:44).

Much later, Sunday night when I get back from Stereobar, I park near home, record a few reflections, and when I finish and step out of my car, I check the time—it’s 4:44. You can’t make that up.
So I decide to search the web for the meaning of the number 4… why not!

Here’s what the site https://www.jepense.org/symbolisme-chiffre-4/ suggests (take what you want, leave what you want):
In most philosophies and religions, 4 evokes the square, the Earth, the totality of the manifested, created, revealed world. It’s the domain of the concrete, the limited. 4 doesn’t create itself but contains all that has been created. 4 also evokes organization, balance, and perfection.
It invites the individual to know themselves better and find their place in the world. According to Lao-Tzu in the Tao Te Ching, “The Tao gives birth to One, One gives birth to Two, Two gives birth to Three, and Three gives birth to all things.” (1=1 / 1+1=2 / 1+2=3 / 1+3=4 or 2+3=5 and off we go…)

4:44
Four is thus the number of the manifested world, deployed in its full perfection. It’s the accomplished breakdown of the Principle through matter, space, and time.

And our friend GPT says this:
The number 444 is considered a powerful sign in spiritual numerology. Here’s what it generally symbolizes:
Stability and solid foundations
Four is associated with solid bases, organization, work, and safety. Seeing 444 means you’re building something lasting in your life; your efforts are paying off and you’re supported in the process.
Presence and support from guides
It’s often interpreted as a clear message: “You’re not alone—your angels and spiritual guides are by your side.” The triple 4 amplifies this message of protection and divine guidance.
Balance and alignment
444 is also a reminder to harmonize body, mind, and soul. It invites you to stay focused and disciplined, but also confident that the universe conspires for your good.
Encouragement to persevere
If you doubt or are going through a transition, 444 is a sign you’re on the right path. Your actions align with your life purpose, even if results aren’t visible yet.

In short: seeing 444 is a call to trust and perseverance, and a reminder that you’re spiritually supported on your path.

No joke—you can’t invent coincidences like that…
While I was blown away by the weekend’s PERFECTION… the universe confirmed it not once but three times! You know—the ticket has three 4s, I did three parties, each time a 444 somewhere nearby that came back to me three times over… And each party was my best of the season, somehow… wrapping up the equinox weekend with all my best events of the season packed into the same three days.

THE END OF MAIN STORY


POUR ALLER UN PEU PLUS LOIN…

RAPPEL SÉCURITAIRE : VOS OREILLES

N’oubliez pas de protéger vos oreilles ! Au fil des ans, vous endommagerez systématiquement vos tympans en vous immergeant dans des environnements sonores aussi bruyants, alors quel que soit votre dispositif, l’important est porter des bouchons. Et NON! Cela de réduit pas votre expérience, au contraire, en coupant les surfréquences, vous entendrez MIEUX la musique, parole de Costa.

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POUR ALLER ENCORE PLUS LOIN…

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